« Bonjour !
Je m'appelle Sora Hajime et l'on me surnomme Ame. Je suis né le 7 Février 1997 à Nagoya, ce qui me fait 17 ans. Je suis un Homme. Je suis Bisexuel et actuellement Célibataire. Mon principal défaut est ma brusquerie et ma qualité majeure est encore à trouver. »

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 Grand et fin, la silhouette de Sora fait penser à celle d’un chat, sa souplesse et son agilité naturelle d’autant plus forgés par les heures d’entrainement intensif de voltige et d’acrobatie, pour le simple plaisir, où lorsqu’il parcourt la ville de haut, en courant, bondissant sur les mur, sautant de toit en toit, acrobate des rues pour lequel la ville entière est un terrain de jeu. Un visage ovale et long, plutôt fin surmonté de deux iris d’un brun tirant sur le noir, entouré de mèches d’un brun foncé termine ce portrait.

Pour des question pratiques, Sora s’habille toujours de vêtements souples et passes partout qui ne risquent pas de le gêner dans ses déambulations dans les hauteurs. Ses doigts sont agiles, car depuis toujours, il s'entraine sans le vouloir à dérober des choses...

Le plus grand problème de Sora est sans doute qu’il n’a aucune patience, et qui lui est impossible de rester une seconde sans bouger. C’est sans doute ce qui cause sa brusquerie, et son profond manque de tact, également du à une maladresse, et a une certaine timidité dans ce qui est de l’expression de ses sentiments.

Sora est une personne solitaire, qui met de la distance entre lui et les personnes qu’il aime, de peur de les blesser, bien qu’il ne l’avouera jamais, n’ayant pas vraiment confiance en lui, et de voulant pas gêner ces personnes, où leurs attirer des ennuis.

D’un naturel téméraire, Sora ne réfléchit pas avant d’agir, et qui aime les défi autant que l’adrénaline que lui procure la hauteur et ses acrobaties.

Sora est également complexé à cause de sa kleptomanie, qui a toujours embarrassé ses parents, si bien qu'il le cache, et fait passer cela pour un jeu..

Sora est né dans une famille typiquement japonaise, à Nogoya. Son père était un membre sans grande importance dans une grande entreprise, et sa mère ne travaillait pas, trop faible pour cela, passant même plus de la moitié de l’année dans un centre de repos ou un hôpital. Pour payer les factures de soin de sa femme, son père s’est toujours tué à la tâche, faisant toutes les heures supplémentaires possibles pour parvenir à joindre les deux bout, forçant le jeune enfant à devenir rapidement indépendant.

Toujours à la recherche d’une augmentation, le pauvre homme s’empressait toujours d’accepter les postes qu’on lui proposait dans les différentes   régions du japon, poussant sa famille à déménager fréquemment. Ainsi, Sora n’eu pas l’occasion de se faire beaucoup d’ami, et au fur et a mesure des année, il ne ressenti plus le besoin d’essayer de s’en faire, persuadé qu’il ne resterait de toute façon pas assez longtemps pour s’en faire.
Se renfermant peu à peu sur lui même, et devenant une personne solitaire, il faisait une proie facile pour les chercheurs d’embrouilles qu’il croisait souvent le soir, n’ayant aucune envie de rester entre quatre mur, attendant dans le noir que son père rentre, essayant de contenir les mouvements qu’il voulait faire pour ne pas réveiller sa mère. C’est ainsi qu’il découvrit les avantages qu’apportait le fait de marcher sur les toits, d’être agile, souple, et rapide, devenant au fil des mois de plus en plus habile pour grimper sur n’importe quelle surface, courant sur des hauteur de plus en plus proche du ciel, pouvant rester suspendu par les bras des heures durant.

Il se fit prendre la première fois à ses quinze, pour avoir escaladé un immeuble en constructions, et ce ne fut qu’une suite d’arrestation régulières, dans des endroits de plus en plus dangereux, l’une dont il était le plus fier, restait la tour de Tokyo presque dix-huit mois plus tôt, peu après qu’ils aient déménagés dans la capitale, mais aussi à cause de sa kleptomanie. Forçant par le biais des rumeurs la crainte de ses camarades, mais surtout leur admiration. Ce fut également le cas de certains policiers, les autres restant persuadé que cette mauvaise graine finirait par avoir son rôle dans un cambriolage.

Hélas, tandis que les escapades se multipliaient, l’état de sa mère s’aggrava, et une promotion que son père attendait depuis longtemps lui fut refusé à cause des exploit de Sora qui leurs étaient parvenu on ne sait comment.

Pour aller mieux, Sa mère devait se rendre dans un lieu au bord de la mer, et son père réussit à se faire muter à Osaka, où une place pour deux dans pension pour les employé de l’entreprise. Il n’y avait pas de place pour lui.
C’est ainsi que Sora fut envoyé au pensionnat Miyusaki.