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| "Ma mère était venue me lever assez tôt, bonjour les vacances." [Miki Yamada/ Sasuke Ujikiyo] | |
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Niveau scolaire. : Chambre : Cinquante-quatre Classe : Troisième S Spécialisation. : Volley-Ball Situation amoureuse : En couple avec Sasuke Ujikiyo. Messages : 62 Okane (お金) : 41 Points. : 6 Date de naissance : 06/06/1997 Age : 27 Les p'tits liens. : Rentrer ici les liens importants. ( Présentation , liens, rps. ) | Sujet: "Ma mère était venue me lever assez tôt, bonjour les vacances." [Miki Yamada/ Sasuke Ujikiyo] Ven 1 Mai - 13:33 | | Si je remontais le plus loin que je pouvais dans ma mémoire, j'avais toujours le souvenir d'avoir vécu dans ce quartier, dans cette maison, avec les mêmes voisins, même si certains avaient déménagé durant tout ce temps. Ma mère m'avait toujours raconté que mon père avait complètement craqué pour cette maison, que ce soit le petit coin de verdure devant la maison, ou bien la grande fenêtre donnant sur l'allée centrale. L'intérieur était confortable, j'aimais beaucoup y être. Ma chambre se trouvait au deuxième étage, à côté de celle qui ne servait que quand on avait des invités, ce qui était rare, mais aujourd'hui, tout allait changer.
Ma mère était venue me lever assez tôt, bonjour les vacances. Je l'avais entendu gueuler dans toute la maison, secouant mon père comme un prunier pour qu'il parte bosser afin de nous laisser suffisamment de place pour bouger. Je m'étais levé en grognant, les cheveux complètement en pétards et étais descendu pour prendre très rapidement mon petit-déjeuner. Je ne voulais pas que ma mère me tombe dessus. J'étais un peu idiot en fait, j'aurais préféré faire autre chose, mais j'avais accepté quand elle m'avait demandé mon aide, soit disant que comme mon père ne pouvait pas l'aider, jamais elle n'arriverait à sortir les meubles du salon, et comme j'étais en section sportive, je devais forcément avoir une certaine force physique qui lui serait utile. Mouais.
Je me levais en soupirant pour nettoyer mon bol avant de le ranger, et remontais dans ma chambre pour me changer après ouvert la fenêtre. Je jetais un coup d'œil à mon réveil, 10h. Eh bah, première fois que je me lève aussi tôt ! Mais ce n'était pas le moment de badiner. Je pris une douche rapide, juste pour me réveiller (et maladroit comme j'étais, j'allais forcément me retrouver couvert de peinture !), puis enfilais un vieux débardeur, dont les bretelles n'arrêtaient pas de tomber, ainsi qu'un pantacourt, tout aussi vieux, troué aux genoux. Pas très sexy comme tenue, mais au moins, je pouvais me foutre de la peinture dessus sans problème. Et puis, je fus sans doute pris d'un brin de fantaisie, puisque je mis un bandeau dans mes cheveux, histoire de retenir ma frange en arrière pour qu'elle ne me revienne pas dans les yeux.
Une fois prête, je descendis en vitesse dans le salon. Ma mère avait ouvert la grande fenêtre et semblait vouloir faire passer les meubles par là. Pour le moment, elle voulait juste que je l'aide à les repeindre, pour qu'ils s'accordent aux murs du salon qui seraient beiges. Il n'en manquait plus qu'un à peindre en réalité, il s'agissait dans la table basse. Les autres, elle les avait faits il y a quelque temps. J'avais comme l'impression que cette journée allait passer très, très doucement. Mais quand je la vis me regarder, les mains sur les hanches, je compris rapidement qu'elle m'attendait pour l'aider à sortir le reste, ce que je fis, prenant garde de ne pas m'emmêler les pieds pour ne pas tomber.
Une fois tous les meubles dehors, ma mère était partie. Du coup, je me retrouvais, tout seul, pour peindre la table basse en attendant qu'elle revienne. Elle m'avait dit qu'elle n'avait pas pris assez de pots de peinture, donc elle était partie en chercher. Je n'aimais pas être tout seul pour le coup. Une moue boudeuse avait pris place sur mes lèvres alors que j'étais à quatre pattes, occupé à peindre cette foutue table. Le soleil tapait plutôt fort aujourd'hui, et il faisait bon. Pour le moment, je n'avais pas chaud, et je me félicitais mentalement d'avoir mis ce foutu bandeau, comme ça au moins, mes cheveux ne me gênaient pas.
- Arrête de parler idiot et peint, sinon tu vas te faire tuer. Murmurais-je pour moi-même.
Pourquoi ma mère n'avait pas voulu peindre dans le garage ? Ça aurait beaucoup plus pratique, on n'aurait pas eu à devoir déplacer à nouveau les meubles, et surtout, je ne serais pas en train de concurrencer les chats en étant à quatre pattes, peignant minutieusement le pied de la table. Mais contredire ma mère venait à affronter le Diable, et j'étais trop... Peureux pour le faire. |
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De : Miki
Salut ! (^_^) Je n'ai rien à faire de la journée, je vais acheter de quoi manger, et je rapplique chez toi pour t'aider dans les travaux ! (*^▽^*) A tout de suite. ☆ (^ε^)
Ahn, les smileys trop mignons. Oui, penser ce genre de choses totalement débiles, c'était bien mon genre. Un sourire naquit rapidement sur mes lèvres, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas vu... Hm, en fait, je ne savais plus, je perdais complètement la notion du temps pendant les vacances. M'enfin peut importe, il sera bientôt là, et le fait qu'il vienne aider était vraiment gentil de sa part. J'ai donc roulé en sens inverse pour revenir à ma place initiale et reprendre ce que je faisais quelques minutes plus tôt, me disant que des vacances ne faisaient vraiment pas de mal... Même si elles rimaient avec travaux. Je me mis à pouffer en imaginant la tête des voisins en voyant tous les meubles dehors, parce que même si ma mère avait de très bonnes relations avec, elle ne les avait sans doute pas prévenu. Puis de toute façon, ça ne me dérangeait pas qu'ils ne viennent pas aider, ils passaient leur temps à me charrier sur les bêtises que j'avais fait en étant plus petit -ou même encore aujourd'hui, surtout la petite vieille qui habitait à côté. Je l'aimais bien... À très petite dose. Parce que oui, même si j'aimais tout le monde, j'avais mes limites.
Quelques minutes après avoir reçu le message de Miki, j'ai senti quelque chose se poser sur ma tête, et c'était forcément lui. Surtout en entendant sa voix me saluer, je ne pouvais pas douter. J'ai réajusté la bretelle de mon haut avant de relever la tête vers lui pour le saluer à mon tour en souriant.
- Sa-
Je me suis coupé en plein dans ma phrase en le voyant, et plissais les yeux. Mince, il était PRESQUE méconnaissable. Bien qu'il portait une casquette, ses cheveux avaient changé de couleur, et ça lui allait vraiment bien, du peu que je pouvais voir. Puis avouons le, sa tenue n'était pas vraiment à son avantage, au moins je n'étais pas le seul à ne ressembler à rien.
- J'ai failli ne pas te reconnaître. Ça te va bien, cette couleur !
En fait, c'était assez bizarre de le voir sans son uniforme, je n'étais pas vraiment habitué à cela. Mais ce n'était pas très grave. Je jetais rapidement un coup d'œil à la fenêtre pour voir si ma mère n'arrivait pas, mais apparemment non. Elle en mettait du temps pour aller chercher trois pots de peinture qui se courent après. Je me suis relevé, je n'allais pas rester toute la journée à quatre pattes pour m'asseoir, et je me suis tourné de nouveau vers lui pour lui sourire à nouveau. Non, sérieux, j'étais content de le voir.
- C'est gentil de venir aider. Si ma mère te voit, elle va te faire bosser comme un malade.
Ça par contre, c'était vrai, et je devrais surement la calmer pour qu'elle ne le transforme pas en esclave, le pauvre, c'était déjà super sympa de venir aider, pas besoin non plus de le tuer à la tâche. Ma mère était folle quand elle s'y mettait, mais elle était relativement cool. Puis elle sera sûrement contente aussi de voir qu'un "jeune" était venu donner un coup de main. Je ne lui parlais pas souvent de mes amis, donc je ne savais pas trop si elle allait le reconnaître. Peut-être juste s'en douter. Je me suis relevé complètement avant de m'étirer, grimaçant légèrement en sentant les os de mon dos craquer. Je voulais aller lui chercher un pinceau, il n'allait quand même pas peindre avec ses doigts. Sauf s'il voulait se lancer dans de l'art abstrait.
- Je vais te chercher un pinceau !
Je suis parti vers la cuisine, là où ma mère avait laissé tous les pinceaux, enfin, ils étaient plus posés en vrac sur la table quoi. Évidemment, ce n'était pas non plus des pinceaux pour faire de la peinture sur feuille, sinon, on en aurait eu pour trois plombes. Je les ai tous pris, ne voulant pas à avoir à faire 200 voyages pour aller les chercher, avant de retourner dans le salon et de me rasseoir par terre, et de lui en tendre un.
- Tes vacances se passent bien ? |
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- Ah, t'es trop mignon.
Je lui souris une nouvelle fois, avant de donner un dernier coup de pinceau pour finir cette table. Au moins ça de fait, faire les murs seraient sans doute beaucoup plus chiant que peindre une simple table en bois. Je me mordis la lèvre en me mettant à réfléchir, ma mère commençait à mettre du temps, j'espère qu'il ne lui était rien arrivé. En entendant sa réponse, j'ai tourné la tête vers lui, en relâchant ma lèvre.
« Ne t'inquiète pas, j'suis un dur à cuire ! »
Pas sûr qu'il le reste face à ma mère. Mais une autre pensée me fit rire, lui était un dur à cuire, et moi un couillon qui se prends des portes de casiers dans la tête. C'était un bon duo, j'aimais bien cette pensée.
- Eh c'est pas mal, toi tu es un dur à cuire, et moi le couillon qui se prends des portes de casier dans la tête. Ca fait un bon duo.
Manquait plus qu'à savoir si ce duo était aussi bon pour la peinture. Parce qu'en fait, j'avais jamais peint de mur de ma vie. Ma mère non plus. Peut-être que Miki aussi. Et mon père n'était pas là, ce n'était vraiment pas cool. On faisait une belle équipe de bras cassés mine de rien. Mais je secouais la tête pour chasser toutes ses pensées de ma tête. Ça ne pouvait pas être SI compliqué que ça. Lorsque je suis revenu dans le salon, il était allongé par terre, et j'ai doucement souri à nouveau. Son regard était encore une fois trop mignon, et j'avais encore envie de lui ébouriffer les cheveux. Fallait vraiment que j'arrête. Par contre, j'ai encore ri en l'entendant parlé. J'aimais vraiment bien Miki, il avait toujours le mot qui faut, c'était bizarre, mais c'était comme ça, et je n'allais pas lutter contre ça.
- J'aimerai bien passer mes journées à dormir, mais ma mère n'est pas du même avis que moi. Je m'occupe comme je peux, mais comme tu dis, c'est la lose. Faudrait se faire une sortie, ça pourrait être sympa.
Que ce soit qu'avec lui, ou même avec les autres, ce serait forcément sympa, parce que j'allais vraiment finir par mourir d'ennui. J'avais beau habité à proximité d'une grande ville, je ne trouvais jamais rien à faire. C'était chiant. J'ouvris la bouche pour parler de nouveau mais mère arriva, parlant à toute vite, saluant vaguement Miki, avant de repartir. Euh, what ? J'avais juste compris que mon père avait eu un problème au boulot du coup, elle allait l'aider. Mais au moins, elle avait laissé les pots de peinture.
- Je dois t'avouer un truc.
Non, je n'allais pas lui dire qu'on allait passer la journée, ou du moins une grosse partie, que tous les deux, il devait s'en douter. Je me suis levé afin d'ouvrir un peu plus la fenêtre, fallait que la table passe, je n'allais pas la laisser à l'intérieur alors qu'on allait peindre les murs. Une fois fait, je me suis tourné vers lui, me mordant à nouveau la lèvre. C'était nerveux, je ne pouvais pas m'en empêcher.
- ... J'ai jamais peint de mur de ma vie. Je suis même une catastrophe pour les trucs manuels.
Et ma mère qui n'était pas là... J'avais envie de bouder là, elle venait de nous lâcher royalement, sympa la maternelle. Heureusement que j'avais Miki... Je me frappais mentalement à cette pensée. C'était quoi, ça ? Comment ça heureusement que je l'avais ? C'était assez étrange de penser comme ça, et heureusement qu'il ne pouvait pas lire dans mes pensées, sinon ça aurait été à mon tour d'être gêné. Je crois que je vais péter un câble.
Je suis revenu vers lui, réfléchissant à nouveau en le regardant, et du coup, me remordant la lèvre. Il avait l'air tellement fragile... Je ne doutais pas de sa force physique, mais j'avais vraiment l'impression qu'il pouvait se briser. Je me suis perdu dans ma contemplation de lui alors que je me perdais également dans mes pensées. Il donnait vraiment envie de le protéger, il me donnait vraiment envie de le protéger. Il était gentil, trop gentil, mignon, drôle... Le premier qui lui fait du mal, je le fracasse. Encore une fois, c'était étrange de penser ça, mais je ne pouvais définitivement pas m'en empêcher... En avais-je seulement envie ?
Je suis revenu subitement à moi, et j'ai rougi légèrement en me rendant compte que je le regardais encore. Merde, j'allais encore le mettre mal à l'aise. Abruti de Sasuke. J'ai secoué la tête pour tenter de chasser toutes ces pensées de ma tête, sans gros succès. Aish, j'avais l'esprit complètement en vrac moi. Je me suis massé la nuque en soupirant, je me désespérais moi-même, mais ce n'était pas vraiment le moment. J'ai relevé mes yeux chocolat vers lui avant de lui sourire à nouveau, je n'arrêtais pas de lui sourire tiens.
- Tu peux m'aider à la mettre dehors ? |
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Beaucoup de temps, avec de la chance. Au final, il reprit cette histoire des casiers que je m'efforçais d'oublier, parce que ça me faisait un peu mal d'y penser, sans que je sache réellement pourquoi, ce qui m'agaçait particulièrement. Je le regardai en silence. Est-ce que je prenais le risque de lui poser la question pour savoir si ça s'était vraiment passé ? Je baissai rapidement ma tête, trouvant un intérêt certain pour mes pieds. Allons, Miki, trouve le courage. « Euh, Sasuke ? Tu t'es vraiment prit un casier ? Enfin, je veux dire... Enfin, il y a des rumeurs bizarres qui courent sur toi en fait... Alors, euh. Je me demandais si euh. C'était vrai... » Je passais ma main dans ma nuque, gêné, alors que je baissais de nouveau la tête. J'aurai peut-être mieux fait de le dire autrement... Je me mordis la lèvre inférieure, alors que je sentais mon cœur battre la chamade... Peut-être allait-il mal le prendre ? Qu'est ce que j'avais fait ? Pourquoi est-ce que je loupais tout ce que j'entreprenais ? Et puis, qu'est ce que j'avais entreprit ? Au fond, c'était pas très grave s'il m'en voulait ! C'est pas comme si c'était plus qu'un ami, et les amis reviennent toujours, quoi qu'il arrive. Je relevai la tête, pour le regarder de nouveau dans les yeux. Je sentais que j'étais super tendu quand même, alors je reportai mon attention sur le meuble qu'il venait de finir de peindre. Au final, il m'a proposé de faire une sortie. Je me demande ce qu'il entendait par « se faire une sortie » est-ce qu'il voulait qu'on se voit que tous les deux ? Mais ce n'est pas bien de se voir que tous les deux alors que nous sommes des hommes. Nous n'avons rien à faire en tête à tête. Mais il pouvait toujours venir à la maison, pour dormir chez moi. C'était normal ça. Les gens s'invitent souvent à dormir, et, il pourrait m'aider à préparer ma soirée. « Tu voudras venir dormir à la maison pour pouvoir faire une grasse mat' ? » lui proposai-je le plus naturellement possible. Au final, sa mère est entrée, et elle nous a parlé super vite, tellement que j'ai fini par penser qu'elle nous avait parlé en une autre langue que le japonais, pour au final s'éclipser aussi vite qu'elle était arrivée. J'écarquillai les yeux, amusé, et j'allai demander à Sasuke ce qu'il venait de se passer lorsqu'il me coupa net. « Je dois t'avouer un truc. » Cherchez pas pourquoi, mais mon cœur s'est réellement emballé, au point même que ma gorge s'est serrée. Je le regardai dans les yeux. ATTENTION MIKI. Tu risques de te faire des film, donc, arrête d'être comme ça. Et puis, d'abord, j'aime pas les hommes. Je suis un homme qui aime les femmes. Avec des gros seins. Ok ? DES GROS SEINS. Au final, il m'a simplement avoué ne pas savoir peindre, et si j'avais été un petit personnage de manga, je me serai décomposé, avant de tomber en arrière, le front bleu, alors que mon âme sortait par ma bouche. Mais je n'étais pas un petit personnage de manga, alors, la seule chose que j'ai fait, c'est sourire. Bêtement. Je levai un sourcil, dubitatif. Aussi loin de ce que je peux me souvenir, les seules fois où j'avais peint, c'était lorsque j'étais à l'hôpital et que les infirmières voulaient nous occuper pour qu'on oublie un peu notre calvaire. Donc je savais peindre avec les cheveux, les mains, les pieds, MAIS pas avec un pinceau. Donc, moi non plus. Mon sourire s'agrandit, et je le regardai gêné. « Bah, moi non plus en fait. Mais je m'en sors normalement pour les travaux manuels ! » ajoutai-je. Bah oui quoi, j'avais l'habitude d'aller animer des activité à l'hôpital, même si je ne supportai pas cet endroit, juste pour essayer de rendre le calvaire des enfants un peu moins terrible. Du coup, j'étais un peu habitué à tout ce qui était bricolage et peinture. Même si j'étais perdu dans mes pensées, il ne m'a pas fallu longtemps avant de me rendre compte qu'il était en train de me dévisager. J'ai rougis de nouveau en le voyant mordre sa lèvre, et j'ai détourné le regard, fichtrement mal à l'aise. Au final, il s'est vite rendu compte ce qu'il se passait, et a changé de sujet. « Bien sûr. » lui répondis-je, avant de me saisir de l'arrière de la table, essayant de ne pas abîmer la peinture. |
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Niveau scolaire. : Chambre : Cinquante-quatre Classe : Troisième S Spécialisation. : Volley-Ball Situation amoureuse : En couple avec Sasuke Ujikiyo. Messages : 62 Okane (お金) : 41 Points. : 6 Date de naissance : 06/06/1997 Age : 27 Les p'tits liens. : Rentrer ici les liens importants. ( Présentation , liens, rps. ) | Sujet: Re: "Ma mère était venue me lever assez tôt, bonjour les vacances." [Miki Yamada/ Sasuke Ujikiyo] Lun 4 Mai - 15:19 | | Miki c'était mis à tousser, beaucoup même, toujours en train de rougir. J'ai haussé un sourcil. J'avais l'impression d'avoir dit un truc qu'il ne fallait pas, mais j'arrivais pas à savoir si c'était mon compliment qui le gênait vraiment, ou s'il y avait autre chose derrière tout ça. - Eh Miki, ça va ? Excuse moi, je ne voulais pas te mettre mal à l'aise. C'était con de dire ça, parce qu'en fait, je ne faisais que ça depuis le début, le pauvre. Mais en fait, j'ai pas vraiment eu le temps de m'attarder là dessus qu'il baissa la tête, semblant visiblement encore gêné. Quelque chose semblait le tracasser, et j'allais vite en découvrir la cause. « Euh, Sasuke ? Tu t'es vraiment prit un casier ? Enfin, je veux dire... Enfin, il y a des rumeurs bizarres qui courent sur toi en fait... Alors, euh. Je me demandais si euh. C'était vrai... »Je crois que j'ai cligné des yeux, avant de me pincer l'arrête du nez. Ah oui, cette fameuse rumeur. Celle où j'aurais sois disant surpris des filles en train de se changer. C'était complètement con en fait, mais une rumeur reste une rumeur après tout. Puis je me suis mis à rire. Pas mal de gens semblait y croire, mais j'en avais rien à foutre, je savais que c'était faux, c'était le plus important pour moi. - Non, c'est faux, je me suis vraiment pris une porte de casier dans la tête. Ca ne m'intéresse pas de voir des filles se changer. Pourquoi ? Par contre, je ne savais pas pourquoi cela semblait autant le perturber, surtout le fait qu'il veuille savoir si c'était vrai ou pas. Je ne savais pas vraiment quoi en penser, et ça m'énervais vraiment. A moins que je lui fasse peur ? Peu probable, je n'étais pas franchement méchant, et je ne l'avais jamais été avec lui, alors pourquoi avoir peur de moi ? A moins que ce ne soit pas ça et que ce soit tout simplement moi qui me faisait de fausses idées. N'importe quoi. Il me proposa ensuite de venir dormir chez lui, et une moue se dessina sur mes lèvres. C'était une bonne idée, mais je ne savais pas si ma mère allait être d'accord en réalité. Elle ne me laissait jamais sortir très souvent, même pendant les vacances. Mais j'avais quand même le droit d'avoir un minimum d'espoir, et j'étais assez grand pour me gérer -presque- tout seul, parce qu'on a beau dire le contraire, on a toujours besoin de ses parents. Et en particulier de sa mère. - C'est une bonne idée, mais faut que je vois avec ma mère. J'ai ri lorsqu'il m'a avoué que lui aussi il ne savait pas peindre, mais qu'il s'en sortait pour les travaux manuels. J'avais raison, mais on allait s'en sortir, j'en doutais pas. Pour le moment, on devait sortir la table. Lui, était déjà en place, du coup, je me suis saisi de l'avant de la table, reculant prudemment pour ne pas me casser la gueule, elle pesait son poids. Et la poser dehors fut un véritable soulagement. J'ai quand même vérifié la peinture pour voir si elle n'avait pas bougé, et non, elle était restée parfaite, tant mieux. Ma voisine sortie au même moment, nous faisant un signe de main, auquel je répondis. Bordel qu'est ce qu'elle pouvait m'énerver celle là, surtout avec son sourire de peste. Elle avait à peut près mon âge, et c'était le genre de petite vicieuse à... Comment dire, se trouver là où vous êtes au mauvais moment. Et j'avais de mauvais, très mauvais souvenirs avec cette fille. Elle m'avait suffisamment pourri la vie quand nous étions plus jeune avant de m'avouer qu'elle était amoureuse de moi. Autant dire que ça m'avait foutu un assez gros coup dans la gueule. Mais je m'en foutais d'elle alors j'ai tourné le dos et je suis rentré. Je ne l'aimais vraiment pas, et rien que la voir mettait vraiment mal à l'aise. C'était con, mais c'était comme ça, et je me mordis la lèvre. Parfois j'avais vraiment envie de déménager rien que pour ne plus la voir. Elle était mignonne hein, mais ça s'arrête là. J'espérais juste qu'elle ne viendrait pas nous emmerder. J'ai passé ma main dans mes cheveux, enlevant mon bandeau par la même occasion, simplement pour le remettre correctement, et pris une inspiration tremblante. Rester calme, rester calme. - Faut mettre ces papiers transparents par terre, pour éviter de tâcher le sol avec de la peinture. Fis-je à Miki en souriant doucement, avant de lui désigner les rouleaux. Ma mère ne voulait pas que le sol soit tâché par la peinture, alors elle avait acheté des rouleaux, assez imposants, de papier transparent, alors il fallait étendre ça par terre. J'ai commencé à le dérouler, mais je me sentais réellement observé, alors qu'il n'y avait que Miki avec moi. Je crois que je paniquais pour rien, mais j'ai été fermé les rideaux de la fenêtre. Au moins maintenant, j'étais tranquille. Je savais que j'étais trop nerveux, mais rien que la voir me faisait péter un câble. Dérouler le papier était marrant, surtout quand on finit à quatre pattes pour qu'il soit mis correctement dans les coins. J'allais passer ma journée si ça continuait, mais au moins, ce fut vite fait. Après, je me suis laissé tomber par terre, déjà fatigué. Oui oui, je suis sérieux. Mais finalement, je me suis laissé rouler jusqu'au pot de peinture, les regardant un instant. Allez Sasuke, courage, ça va être marrant. - Ca te dit on se fait un pari complètement débile ? Le premier qui se met de la peinture dessus a perdu. C'était con, et même moi je ne savais pas pourquoi j'avais dit ça, mais ça me fait mourir de rire intérieurement. |
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Je crois que c'est quelque chose dont on ne se remet jamais. Je secouais la main pour lui indiquer que ce n'était rien. Et j'ai menti un peu en faisant croire qu'il ne m'avait pas mit mal à l'aise, mais en même temps, je n'avais pas envie de lui dire que j'avais passé une partie de mon enfance coincé dans un lit d'hôpital entre la vie et la mort. Moins de gens le savaient, mieux je me portais. « C'est rien, juste des allergies, assurais-je avec le sourire. » Et en fait, j'ai eu l'impression de faire une véritable connerie en lui posant ma question, surtout comme ça, puisqu'il s'est pincé l'arrête du nez. J'ai vraiment cru qu'il allait s'énerver contre moi, et ça m'a remit mal à l'aise. J'avais pas envie qu'on se prenne la tête. J'ai passé ma main dans ma nuque, en baissant la tête, avant qu'il ne réponde. Je crois que j'attendais qu'il me hurle dessus. Mais j'aurai compris. Parfois, les rumeurs, ça peut être vexant. Puis, il m'a répondu négativement, justement comme je m'y attendais. Pendant un instant, je me suis fait une espèce de film, et j'ai fini par croire qu'il me disait que ça ne l'intéressait pas de voir les filles se changer parce qu'il était gay. Mais je suis bête, et je suis revenu à la réalité, alors que j'avais eu un gros moment d'espoir qui me faisait quand même plaisir. Mais quand j'ai remis les pieds sur terre, je me suis trouvé répugnant. Je me mordis la lèvre inférieur. Mince. Non, je ne suis pas gay moi, ok ? Alors faut que j'arrête un peu de douter à la fin, je commence à en avoir marre. Un petit sourire se dessina sur mon visage quand il me demanda pourquoi. « J'ai cru que t'étais un gros pervers. Plaisantais-je avec un petit clin d'oeil, amusé. » Cependant, quand je lui ai proposé de venir dormir à la maison, il a fait la moue. J'ai cru que ça ne l'intéressait pas, et que l'excuse de sa mère était une excuse bidon. Je me suis senti un peu vexé, mais j'ai gardé mon sempiternel sourire. « Oh, ce serait dommage si elle refusait, t'imagines même pas, ma baraque, c'est la caverne d'Ali Baba. » Au final, on a déplacé la table, jusque dans le jardin, pour qu'elle sèche. Il aurait mieux fait de la peindre directement là-bas, afin qu'il ne prenne pas le risque d'abîmer la peinture, mais il n'y avait sûrement pas pensé après tout. C'est fou comme un si petit effort m'a essoufflé. Je ne supportais plus mon état, et quand on a posé la table, ça a été un véritable soulagement, alors que j'étais devenu rouge pivoine sous l'effort. Je me redressai, posant mes mains sur mes reins, pour m'étirer en arrière, puis, je posai le dos de mon avant bras gauche sur mon front, pour me protéger du soleil, tout en regardant le ciel. Mon attention fut attirée par une fille à un balcon qui nous faisait coucou. Elle a quoi celle là ? Je fis de nouveau la moue, elle m'énervait, j'avais envie de lui montrer que Sasuke était à moi, et QUE à moi. HEIN ? Mais à quoi je suis en train de penser ?! MERDE MERDE MERDE. J'ai souris quand il l'a ignoré, et tourné le dos, et j'ai fais pareil, pouffant discrètement, espérant qu'il ne m'ait pas entendu. Puis, nous sommes rentré. J'ai hésité à tirer la langue à la garce dehors, mais je me suis dit que ça ne faisait ni mature, ni viril, alors je n'ai rien fait, me contentant de suivre Sasuke. Au final, il a fallu dérouler des papiers transparent. J'ai rigolé à le voir faire. J'ai fais ma technique pour ma part : lancer le rouleau à travers la pièce, et ça semblait mieux marcher que sa technique à lui, jusqu'au moment où... un magnifique rouleau de plastique transparent arriva sur la tête de Sasuke. « HAN. » J'ai essayé de me retenir le plus longtemps possible, mais les larmes commençaient à me monter aux yeux. Je finis par exploser de rire, ne pouvant faire autrement. Je riais tellement que j'en pleurai, et je finis même par m'asseoir par terre, me tenant les côtes, et en essayant vaguement d'articuler des excuses, mais ça me semblait réellement impossible. J'arrivais vraiment pas à m'en remettre, j'étais parti dans un magnifique fou rire qui ne semblait pas avoir de fin. Mais j'ai finis par réussir à me calmer, mais le voir rouler par terre m'a fait repartir. Putain, je crois que je ne vais jamais m'en remettre franchement. Je me suis couché sur le sol. « Oh putain, je vais crever de rire. » articulais-je, en me laissant rouler sur le côté, pour regarder Sasuke. Je n'avais pas prévu que nos visages se retrouvent aussi près. J'ai rougis, et je me suis relevé rapidement, gêné. Voilà comment calmer un fou rire. J'étais agenouillé, les mains sur mes genoux, et je finis par me saisir d'un pinceau. J'écoutais le pari de Sasuke, en levant un sourcil, et trempai mon pinceau dans la peinture. Je fis mine de me diriger vers le mur, mais une fois l'attention de Sasuke détournée, je lui sautai dessus, pour lui barbouiller le nez de peinture, en rigolant. |
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- N'hésite pas, si un jour tu veux parler.
C'était assez bizarre de lui balancer ça, comme ça. J'aurais peut-être dû approfondir parce qu'il n'avait pas suivi le cours de ma pensée. Mais je ne le fis pas. Et ce n'était pas vraiment la peine de me demander pourquoi, parce que même moi, je ne le savais pas en fait. Je crois que je suis né en mode "sans échec", il n'y aucun autre mec qui n'est pas capable de savoir pourquoi il agit comme ça. Ou peut être que si. Mais je m'en fous.
Je me suis étouffé avec ma salive en l'entendant parlé. De quoi ? J'ai tourné la tête au bon moment pour voir son clin d’œil, et je me suis mis à rire aussi. Un gros pervers... Ça se tenait. Si la rumeur avait été vraie. Mais bon, tout le monde est pervers au fond, et celui qui le nie serait juste un gros coincé incapable de l'admettre. Avouons que c'est triste. Afin, quoiqu'il en soit, j'assumais parfaitement ma perversité, même si je ne la montre pas.
- Tu devrais te méfier alors. Ai-je répliqué en lui rendant son clin d’œil.
J'ai ensuite grimacé lorsqu'il m'a dit que ce serait dommage si elle refusait. Le problème avec ma mère, c'est que dans sa tête, j'avais encore 12 ans. Limite, elle me mettait un bavoir quand je mange et qu'elle ne vient pas me border le soir quand je vais me coucher. J'adore ma mère, vraiment, mais bon, à 17 ans, voilà quoi... Et j'étais sérieux quand je lui avais dit ça, elle n'était souvent pas d'accord quand j'étais invité chez des gens, mais j'y allais quand même, parce que sinon, je ne pourrais jamais sortir. J'ai alors haussé des épaules, avant de lui sourire.
- C'est pas grave, je ne lui dirais pas, et je me ferais taper sur les doigts.
Oui, elle était du genre à me frapper les mains avec une règle, et honnêtement, ça fait mal, surtout quand on n'est pas maso. Même mon père y avait le droit. En fait, on était complètement soumis à ma mère, ni lui ni moi osait lui tenir tête. À croire qu'elle était pire que le Diable, alors qu'en fait, pas du tout. Je tirais une majeure partie de mon caractère d'elle en fait, du coup, elle savait être douce quand il le fallait... Sauf qu'elle ne le montrait pas souvent. Et heureusement qu'elle n'était pas là et qu'elle ne pouvait pas lire dans mes pensées, sinon, je me serais fait tuer à coup sûr.
J'ai vraiment crû qu'il allait s'évanouir, il était réellement rouge et essoufflé, et encore une fois, je n'avais pas tout compris. Peut-être qu'il ne supportait pas le soleil ? Réflexion un peu conne, mais il a ri très discrètement, sans que je sache pourquoi, et l'entendre rire m'a fait oublier de lui demander. Alzheimer précoce vous dis-je.
Et là, je n'ai réellement rien compris. On était en train de dérouler les rouleaux, j'ai entendu un bruit... Et je crois aussi que je m'en suis pris un dans la gueule. Soit il me l'a lancé dessus, soit il n'a pas fait exprès, j'en sais rien.
- Aïe !
Je n'avais pas eu mal, c'était un réflexe. Et deux minutes après, il explosa littéralement de rire. Je me suis lentement tourné vers lui, plissant les yeux, mais rien que le voir mort de rire par terre, jusqu'à s'en tenir les côtes, que je me suis mis à rire aussi. Puis lui aussi a roulé, et quand j'ai tourné la tête vers lui, nous étions vraiment proche. Il avait de jolis yeux. Puis il s'est relevé, après avoir rougi. Il semblait gêné encore une fois, et j'ai haussé un sourcil avant de me relever.
Et là, j'ai fait une belle connerie.
Pourquoi, après avoir proposé un pari aussi con, j'ai détourné l'attention pour vraiment commencer à peindre ? À croire que ma connerie n'avait vraiment pas de limite. Parce que Miki lui, avait sauté sur l'occasion pour me donner un coup de pinceau sur le nez. La guerre venait d'être déclarée. J'ai lentement tourné la tête vers lui, avant qu'un sourire en coin ne naisse sur mes lèvres. Une idée, pas très brillante, je l'avoue, venait de naître dans mon esprit. Je me suis baissé pour tremper deux de mes doigts dans la peinture, avant de me relever. Je l'ai regardé un instant, avant d'attraper son menton et de commencer mon œuvre spéciale guerre. J'ai tracé deux traits horizontaux sur ses joues, avant d'en tracer un verticale, partant de son front jusqu'à son menton, passant par son nez, et évitant ses lèvres. Puis j'ai relâché ma prise, presque fier de ma connerie.
- Un vrai guerrier. |
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Le fou rire qu'on a eu, honnêtement, je crois que je vais m'en souvenir toute ma vie, tellement la situation était, avouons le, stupide. Mais c'était ça, qui au final était drôle. Et rire ne me faisait pas de mal. Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu un fou rire comme ça, et j'eus presque envie de remercier Miki pour ça. Mais si je le faisais, je prenais le risque qu'il me demande pourquoi, et je ne voulais pas re-plomber l'ambiance, parce que de toute façon, c'était une raison trop conne pour être dîtes. Ce n'était pas quelque chose de douloureux pour moi, ça ne me dérangeait pas d'en parler, mais non. J'étais trop détendu pour ça.
J'étais en train de peindre lorsqu'il a proposé de mettre de la musique. Et j'ai ri en entendant comment il m'avait appelé. Artiste ? Oh bordel, ça aussi, j'allais m'en souvenir. J'étais pire que nul, que ce soit en peinture, dessin où je ne sais pas quoi. Alors pour le coup, ouais, ça me faisait rire. Et puis, son idée n'était pas mauvaise, loin de là. Alors j'ai tourné la tête vers lui, avant de lui sourire doucement.
- Si tu veux, je ne suis pas contre !
Je lui ai laissé le choix de choisir celle qu'il voulait, je n'étais de toute façon pas réellement difficile en matière musicale. Je n'écoutais aucun groupe en particulier, et je n'avais pas de préférence pour une chanson. Alors il avait pire que l'embarras du choix pour le coup. Et effectivement, la chanson qu'il avait choisie, je ne la connaissais pas. Très certainement un groupe connu, je me suis mis à rire en imaginant les groupies lors d'un concert.
J'allais pour tremper mon pinceau dans la peinture, bien sûr le sceau était à l'autre bout de la pièce. Mais qui l'avait déplacé ? Bah, tant pis. J'ai regardé ce dernier un instant, ce dernier, une moue se dessinant sur mes lèvres. J'ai jeté un regard à Miki, avant d'improviser une chorégraphie pour l'atteindre. Le seul truc que je peux dire, c'est qu'à un moment, j'ai levé les bras en balançant les hanches de gauche à droite. Ridicule, surtout quand ma voisine passa la tête par la fenêtre pour savoir d'où venait la musique, alors je lui ai fait coucou en lui souriant. Au point où j'en étais, j'en avais franchement rien à foutre de passer pour une gros malade mental.
- Le prochain qui passe par ici, il va prendre peur ! Ai-je lancé en me penchant pour tremper mon pinceau dans la peinture. |
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Enfin bref, il accepta ma proposition de mettre de la musique. Du coup, je branchai mon téléphone à l'enceinte portable que j'avais apporté, avant de faire partir une musique de Frederic « Owarase Night. » elle était vraiment fun cette chanson, et la danse de Sasuke la rendit encore plus amusante, et je dois avouer que ça m'a fait rire. Il m'a fait penser à un petit ours de la pub « Puchi ». J'ai trouvé ça trop mignon, puis, j'eus soudain un éclair de génie alors qu'il saluait sa voisine. Je levais un sourcil. C'est vrai que j'étais un véritable guerrier après tout. Un sourire mesquin se dessina sur mon visage alors que je sautais sur le dos de mon amin, en criant « Banzaï », un pinceau plein de peinture, que je lui tartinais partout sur le visage, avant de descendre, et de contempler mon œuvre d'art, tellement... Réussie. J'éclatais de rire, d'un rire cristallin et enfantin qui me fit bizarre à moi aussi. Depuis que j'étais sorti de l'hôpital, j'avais eu l'impression d'avoir gagné plus d'une dizaine d'années en quelques mois à peine. Il faut croire que faire face à la mort, bah, on s'en sort pas totalement intact quoi... C'est souvent plus violent qu'on ne peut le penser, m'enfin. Maintenant, je vis avec, et il faut croire que Sasuke a une influence si puissante qu'il me permet de retrouver cet esprit naïf et innocent que j'avais il y a de cela quelques années. Ce n'était pas désagréable, bien au contraire. Je me sentais aussi vivant que lorsque j'étais aux côtés de Maya. C'était très agréable, et je pensais que je pouvais rester toute ma vie entre eux deux. En cet instant, c'était mon rêve à vrai dire. Je sais que je n'avais pas beaucoup d'ambitions, mais j'avais du mal à me voir plus loin que demain. J'avais apprit à vivre dans le présent, en oubliant le futur, mais en étant victime du passé. J'étais enfermé dans une pièce plutôt sombre, dans laquelle ne voulait pénétrer aucune lumière d'espoir. Pourtant, je faisais des efforts, mais c'était plutôt dur. J'étais pourtant toujours joyeux. Ça ne l'empêchait pas, c'était certain, mais tout de même.
Enfin bref, il était peut-être temps de les peindre ces murs ? Parce que bon, c'était bien sympa de tartiner la gueule de Sasuke, mais je sens que si sa mère rentrait, elle allait criser de voir qu'on n'avait pas avancé. Ce qui serait, en soit, plutôt légitime.
Une nouvelle musique passa, et je me mis à danser comme un fou, en sautant partout dans la pièce. Je ne savais rien faire, sauf chanter, et je rajoutais ma voix par dessus. C'était « The Beginning » de One Ok Rock, l'un de mes groupes préféré, et la chanson était également ma préféré. Du coup, j'étais comme une puce. Je ne pourrai pas me vanter de bien chanter, mais je pense que je ne me débrouille pas trop mal. C'est l'une des seules choses que je sais faire après tout.
J'utilisai mon rouleau pour peindre comme micro, alors que je tendais mon bras vers Sasuke, en tenant les longueurs, comme si je voulais l'attraper. Je reculai en même temps, comme si je n'arrivai pas à l'attraper. J'étais vraiment à fond, je m'éclatai de ouf. C'était la plus belle journée des vacances. |
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Niveau scolaire. : Chambre : Cinquante-quatre Classe : Troisième S Spécialisation. : Volley-Ball Situation amoureuse : En couple avec Sasuke Ujikiyo. Messages : 62 Okane (お金) : 41 Points. : 6 Date de naissance : 06/06/1997 Age : 27 Les p'tits liens. : Rentrer ici les liens importants. ( Présentation , liens, rps. ) | Sujet: Re: "Ma mère était venue me lever assez tôt, bonjour les vacances." [Miki Yamada/ Sasuke Ujikiyo] Ven 3 Juil - 12:13 | | L'ambiance qui s'était instaurée était légère, et j'aimais beaucoup. Je n'ai jamais autant rigolé de toute ma vie, et franchement, cela m'avait énormément manqué. Même si bouger dans tous les sens donnait vraiment chaud, et même si les murs n'allaient pas se repeindre tout seul, je m'en foutais. Je me sentais trop bien pour couper ce moment. Et Miki eut d'ailleurs une idée de génie.
En moins de trente secondes, il se retrouva sur mon dos et j'avoue que je n'ai pas vraiment tout compris. Encore moins quand il se mit à barbouiller mon visage de peinture, mais je n'ai pas pu m'empêcher de rire devant ce geste. Je devais avouer qu'il avait bien réussi son coup puisqu'il m'avait totalement pris au dépourvu. Je me suis servi de mon haut, le relevant partiellement pour m'essuyer, ou du moins essayer - je ne sais pas si cela avait vraiment marché ou si je n'avais pas plus étalé la peinture. Ouais enfin quoiqu'il en soit, je devrais prendre une douche, c'était clair et net. J'étais surement le seul à crever de chaud puisque Miki s'est mis à danser comme un fou, et je l'ai regardé, bouche-bée. J'avoue, j'étais toujours étonné de voir quelqu'un s'éclater comme ça.
J'avais recommencé à peindre, le regardant aussi du coin de l'œil en même temps, un sourire étirant mes lèvres. Son pinceau était devenu son micro, et j'avais presque l'impression qu'il tournait dans un clip dramatique, puisqu'il ne semblait ne pas réussir à m'attraper... Ouais et faut dire que ça aussi, c'était trop marrant, surtout de le voir faire ça alors je ne l'aidais pas vraiment.
2 heures plus tard, les murs étaient enfin repeints, et ma mère n'était toujours pas rentrée. Bah, en réalité, je ne m'inquiétais pas vraiment, au pire, elle avait mon numéro donc elle pouvait m'appeler si elle avait un problème. Je me suis donc simplement laissé tomber à terre, et je me suis presque félicité moi-même, bien que Miki m'ait beaucoup aidé, et je lui en étais très, très reconnaissant. Parce qu'après, ce n'était pas tout le monde qui se proposait pour aider alors qu'il aurait pu faire autre chose de beaucoup plus amusant. J'étais donc touché par son geste, peux être plus qu'il ne le fallait. C'était assez étrange, je n'avais pas de mots pour le décrire.
J'ai donc tourné la tête vers lui avant de me redresser pour m'asseoir. Sans vouloir nous vanter, on avait franchement fait du bon boulot, ma mère allait être obligée d'être contente.
- Merci d'être venu aider, c'est vraiment gentils de ta part ! |
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Niveau scolaire. : Je suis... : Je peux prendre... : - Rien du tout, passe ton chemin.
Messages : 371 Okane (お金) : 433 Points. : 2 Date de naissance : 16/12/1995 Age : 28 Je fais partie du Staff. Muse | Sujet: Re: "Ma mère était venue me lever assez tôt, bonjour les vacances." [Miki Yamada/ Sasuke Ujikiyo] Sam 22 Aoû - 16:40 | | Rp archivé car datant de plus d'un mois. Si l'envie de le rouvrir vous prend, merci de me contacter. Bon jeu ! |
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| Sujet: Re: "Ma mère était venue me lever assez tôt, bonjour les vacances." [Miki Yamada/ Sasuke Ujikiyo] | | |
| | | | "Ma mère était venue me lever assez tôt, bonjour les vacances." [Miki Yamada/ Sasuke Ujikiyo] | |
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