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Cours d'Usami-Sensei : théâtre.

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Daichi Usami
Niveau scolaire. :
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Situation amoureuse : Célibataire

Messages : 50
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Date de naissance : 19/07/1991
Age : 33
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Daichi Usami
MessageSujet: Cours d'Usami-Sensei : théâtre. Cours d'Usami-Sensei : théâtre. EmptyDim 25 Jan - 14:59



Et action !


JoueurS



Les théâtreux de A. Mes élèves de théâtre !


© Halloween




C'est vrai que mes heures de cours auprès des D étaient vraiment éprouvantes, et je ressortais souvent de cours avec la tête comme une montgolfière. Ces pauvres gamins n'avaient aucune confiance en leur professeur, et très franchement, c'était vraiment compréhensible. Vu ce que j'en entendais dans la salle des profs, il y avait de quoi s'en irriter. Certes, ils n'étaient pas la classe la plus facile, mais quelque part, n'était-ce pas à cause de nous autres ? L'équipe enseignante. C'est vrai quoi, quelque part, c'est nous qui les stigmatisons, et les classons comme « déchets ». une fois que j'étais seul dans les couloirs, je me suis ébouriffé les cheveux, en poussant un soupir las. Il fallait vraiment que je me creuse la tête pour trouver de quoi les intéresser, et surtout, leur faire retrouver confiance en eux. Surtout qu'en plus, en ce moment, ils traversaient une épreuve difficile, avec Takeda-kun à l'hôpital. D'ailleurs, si je ne me plante pas, il me semblait avoir vu un lien de parenté entre ce dernier, et une élève de mon cours de théâtre en A. La pauvre, je me demande même si elle allait trouver le courage de venir en cours. Bon, dans cette première partie, il serait très mal venu de faire une pièce dramatique, donc le théâtre traditionnel, on va oublier, parce qu'il soit français anglais ou grec, franchement, il n'était pas toujours jovial. Bon, je ne sais pas vraiment quoi leur faire jouer, je ne connais pas leur niveau, même si je ne doute pas de l'excellence de ce dernier. Une session d'improvisation pouvait être très intéressante pour déterminer ce qu'ils arrivent le mieux à jouer. En même temps, il serait tout de même assez mal venu de ma part, alors qu'ils ne me connaissent pas de leur balancer direct une lourde pièce de théâtre.

Je me rappelle encore de mes cours de théâtre à la fac. J'aimais tellement y aller. On avait fait un stage à l'étranger, pour deux ans. J'avais intégré une grande troupe française qui se produisait aussi aux Etats-Unis. Ça m'avait bien permit d'apprendre ces deux langues, même si j'étais encore loin de les maîtriser. Je me rappelle avoir fini déguisé en femme pour jouer Phèdre, alors que l'actrice principale s'était cassée la cheville, et qu'il ne restait que moi. C'était un gros fou rire au départ. Je me rappelle aussi, lorsque nous avions fait un bord de scène pour entrer en contact avec le public, on nous avait avoué avoir des aprioris sur un homme dans le rôle de la Reine, et qu'ils avaient été drôlement surpris, mais qu'au final, c'était plutôt bien fait. On avait rit. C'était une bonne expérience de jouer dans cette troupe. La fois où nous nous étions produit à Brooklyn, présentant au public américain le drame de Shakespeare Romeo & Juliette. J'avais obtenu le rôle de Roméo, pour la simple raison que c'était ma dernière représentation. Juliette était d'une beauté à couper le souffle, et j'étais réellement tombé amoureux de l'actrice, que j'avais du quitter dans un déchirement total, les larmes me montant aux yeux à l'aéroport Charles De Gaulle. Elle s'appelait Maëlle. Maëlle Réginot.   On m'avait félicité pour mon rôle, et je me rappelle qu'un producteur avait voulu que je prenne des cours à New-York, avant de rejoindre son film. Pourquoi je ne l'ai pas fait ? Parce que j'avais pour envie d'enseigner. J'avais trouvé ma vocation là-dedans. Quand je suis devenu enseignant, j'avais pour première envie de me faire les pieds dans une classe tranquille, et agréable. Mais mon premier job, c'est celui que j'ai là, et je suis tombé sur les D. Je les voulais aussi, mais plus pour mon année suivante, afin de me faire à mon métier de professeur, hors, là, j'étais directement tombé sur eux. Du coup, j'avais prit l'avion, direction Tokyo, et la fin de mes cours.

J'avais envie de prouver à ces gamins que tous les professeurs n'étaient pas de sales bougres, et qu'ils pouvaient bien les considérer comme autre chose que des êtres dont lesquels il fallait se méfier. Je voulais aussi qu'ils arrêtent de se considérer comme des déchets. Ils étaient bien plus importants que ça. Ils étaient des personnes à part entière, et ils avaient beau se considérer comme on les avait toujours appelé, moi, je voyais en eux le  potentiel qu'ils avaient. Et je les aiderai à obtenir leur diplôme, ou continuer dans leurs études. J'étais d'ailleurs assez étonné de voir qu'ils y avait tout de même trois personnes en Quatrième, ce qui signifiait qu'ils avaient quand même la foi de continuer dans leurs études supérieures. J'étais fier d'eux, même si pour le moment, je ne les connaissais qu'en surface. 

Enfin, quoi qu'il en soit, pour le moment j'avais rendez-vous avec les élèves de A, pour commencer à enseigner le théâtre. Ils avaient fait exprès de séparer mon emploi du temps, pour que j'ai des « pauses » comme ils m'avaient expliquer, entre les moments où j'enseignais aux D. Ils étaient peut-être peu aimables, et ils me faisaient bien les pieds, mais en attendant, je ne les considérais pas comme des animaux. Enfin, bref, j'arrête pas de penser ça depuis toute à l'heure. 

Je me suis retrouvé dans le couloir des A, avant de m'en rendre compte, et j'ai senti cette douce atmosphère, calme et sereine qui faisait leur légende. Pas un bruit ne s'élevait des salles de classe, tellement que l'on aurait pu croire qu'elle était vide, si, par moments on n'entendait la voix du professeur entraîné par ce qu'il racontait, et ne mesurant plus la hauteur de sa voix, ou bien les élèves attendant ce dernier en bavardant paisiblement.

Je suis arrivé devant ma salle de classe, et j'ai ouvert la porte, découvrant mes élèves.

« Bonjour tout le monde, veuillez regagner vos places s'il vous plaît. » leur ai-je indiqué calmement.

Je me suis mit derrière mon bureau, avant d'écrire mon nom au tableau. Tiens, aucun bavardage ? Tiens, aucune boulette de papier tentant de porter atteinte à ma vie ? SERIEUX ?! Je me suis retourné vers eux.

« Usami Daichi, vingt trois ans et célibataire. Je serai votre professeur de théâtre pour cette année. Enchantée. » 

Je me suis incliné respectueusement, avant de leur adresser un grand sourire. Je pense qu'ils se doutaient que je serai leur prof de théâtre, mais bon, c'était sorti tout seul après tout. Je n'y suis pas pour grand chose.

« Donc, nous allons commencer par faire un peu d'improvisation plutôt que de tout de suite gratter des cours théoriques. Je vous propose de passer dans la salle d'à côté. »

Je suis passé le premier. Au fond de la salle se trouvait une porte qui permettait d'accéder à une pièce vide, qui elle-même possédait une porte pour donner sur le débarras.  Je me suis posté au milieu, et j'ai regardé les élèves qui se tenaient face à moi, contre le mur.

« Alors, avant de jouer, vous vous présenterez rapidement, en donnant votre prénom et votre nom, ainsi que vos hobbies, et ce que vous n'aimez pas. Ensuite, vous jouerez ce qui vous fait plaisir. Cela peut aussi bien être du drame que du comique. Le tout est de faire un monologue qui va nous permettre de comprendre ce que vous préférez jouer. Qui veut commencer ? »
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MessageSujet: Re: Cours d'Usami-Sensei : théâtre. Cours d'Usami-Sensei : théâtre. EmptyMer 25 Fév - 14:02
La matinée s'était terminée calmement. Une matinée comme une autre, j'avais envie de dire. Et pourtant, ce n'était pas le cas. Je le savais. J'avais vu la directrice. Et ce n'était pas mes résultats qui étaient en cause. Non. C'était toujours le même sujet. C'était toujours de la même personne qu'on parlait. Celle qui n'avait pas bougé de son lit, aussi blanc que la mort. Celle qui était dans le coma. Celle qui avait dérobé mon âme, l'emprisonnant et la torturant chaque nuit. Ce n'était pas de sa faute, je le savais, mais j'avais mal. Surement pas autant que lui. Mais plus je m'imaginais sa souffrance, plus je m'imaginais qu'il se rapprochait de la cruelle échéance de la vie, et plus je souffrais. C'était un cercle vicieux dans lequel s'extirper n'était pas envisageable. Du moins, pas sans y laisser sa raison. Je lui avais souris, de ce sourire si faux. Je lui avais dit que tout allait bien, qu'on s'en sortirait. Et puis j'étais sortie du bureau de la directrice. Avais-je pensé un seul mot, une seule parole de mon monologue court et dérisoire ? Je ne crois pas. Mais l'important était qu'elle y est cru, du moins en parti.

Il faisait froid en ce mois de février, mais je ne ressentais rien. Mon horloge s'était arrêtée il y a deux semaines, et elle ne recommencerait sa course qu'une fois le mois terminé. Ou elle s'arrêterait à jamais. Mon visage était pâle et cerné, témoin de mes nuits insomniaques. Mon regard était vide, ou du moins, pauvre en émotion même quand je jouais la comédie. Mon corps était lourd et chaque pas était un effort. Dire qu'il y a peu, je sautillais partout tel un lutin... La joie, le bonheur, la légerté. Tout ce qui me caractérisait s'était envolé, évaporé. Je n'étais plus qu'une coquille vide, espérant un miracle, attendant désespérément un coup de fil salvateur. Faisais-je pitié à voir ? Surement. Mais je m'en fichais. Au moins, cette partie de la personnalité était restée intact : le regard qu'avait les autres sur ma personne ne m'importait pas. 

Je me trouvais en cours de théâtre, face à un nouveau professeur qui se présentait. Si autrefois, j'aurais rigolé en entendant sa présentation mentionnant le fait qu'il était célibataire, désormais, cela m’indifférait. J'avais déjà oublié son nom, ma mémoire trop encombré par quelques chiffres. Ils étaient omniprésents, me rappelant à chaque instant le temps écoulé depuis cet incident. Quatorze jours, quatorze heure, trente minutes et quelques secondes. Et il n'était toujours pas réveillé. Avait-il mal ? Se souvenait-il de moi ? Luttait-il encore ? Ou Minoru Takeda n'était-il déjà plus qu'un vague souvenir ? Je voulais savoir. Je voulais l'entendre. Que l'on m'explique. Mais cela changerait-il quoi que ce soit ? Non. Et je le savais. Je me devais d'attendre. Je me devais de sourire. Parce que c'était tout ce que je pouvais faire. Alors même si je devais souffrir mille morts, je sourirais. Pour lui. Pour qu'il puisse continuer à se battre. Pour que je puisse lui ouvrir mes bras à son réveil. On disait que l'espoir faisait vivre. Je ne pouvais qu’approuver cette triste évidence. 

Nous étions passé dans une autre salle et certains commençaient à se présenter avant de jouer un passage d'une pièce au choix. Je n'écoutais ni ne suivait ce qu'il se passait. Pourtant, avant, j'aurais adoré regardé les autres se donner sur scène. Mais aujourd'hui, je n'étais pas d'humeur à m’exalter. Encore moins d'humeur à jouer. Et pourtant je le devais. 

"Je me nomme Juliet Shakespeare et je suis en quatrième A. Mes passions sont le théâtre et la danse. Mais j'aime aussi les arts "manuels" comme le dessin. Je n'aime pas..."


Je n'aime pas la souffrance, je n'aime pas la mort, je n'aime pas la situation dans laquelle je vis. Mais je ne pouvais tout simplement pas dire ça. J'étais en cours, je me devais d'être professionnelle. Mes émotions n'étaient pas le sujet du jour.

"Ce que je n'aime pas n'a pas grande importance à vrai dire. Je vais vous jouer un passage du Cid de Pierre Corneille, c'est une tragédie. Mais ça ne veut pas dire que c'est ce que je préfère jouer, c'est juste ce qui me vient à l'esprit."


Ou plutôt, c'était la seule chose que j'étais à même de jouer correctement. J'avais envie de crier, j'avais envie de me lamenter, je ne voulais plus supporter mon corps et me laisser aller au sol. Je voulais pleurer. Mais tout cela m'étais interdit. Sauf si je jouais un rôle comme celui-ci. J'inspirais profondément et me lançais, oubliant tout ce qui se trouvait autour de moi. J'étais devenue Chimène, et je me noyais dans mon chagrin.

[Post à ne pas prendre en compte dans la suite du cours.]
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MessageSujet: Re: Cours d'Usami-Sensei : théâtre. Cours d'Usami-Sensei : théâtre. EmptyMer 4 Mar - 19:34
Aiden était décontenancé, réellement. Il avait quitté quelques instants plus tôt l'aide bruyante et peu accueillante des D pour rejoindre celle des A afin de suivre son cours de théâtre et il fallait dire qu'il faisait presque tâche dans ces couloirs. Tout était silencieux, presque trop. Les couloirs étaient propres presque immaculés en comparant ceux de chez "lui" et personne ne traînait dans les couloirs. L'anglais croyait presque avoir changé de dimmension pour arriver dans un monde trop propre et trop parfait où il n'avait pas du tout sa place. Il avait toujours pensé ça de toute manière. Il se sentait trop différent, trop hors-normes et ce, depuis son arrivée au pensionnat. Avant, il se fondait dans la masse, invisible mais pas trop, avec quelques bonnes notes par moment et un bon comportement. Le beau brun ne se rappelait même plus comment tout avait dérrapé. Il ne se rappelait même plus comment il en était venu à détester à tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un enseignant ou à un adulte. Tout ce qu'il savait, c'est qu'il n'avait plus aucune confiance en eux. Il se rappelait juste à quel point il était un incapable à leurs yeux et à quel point il raterait sa vie. Il se rappelait de ce sentiment d'abandon qui le bouffait chaque jours, qui l'étouffait peu à peu. 

C'est pour ça qu'il s'était mit au théâtre. Il voulait pouvoir se créer un nouveau personnage, faire l'impasse sur ses émotions même pendant quelques précieuses minutes. Il voulait pouvoir faire semblant d'aller bien et d'accepter d'être un moins que rien pour le reste de sa minable existence. Et puis, c'était comme ça que le "monstre" était né. Peu à peu, Aiden arrivait à cacher ses sentiments ou à les extraires en jouant les rôles adéquats, il avait trouvé la chose qui l'aidait à ne pas se détester lui-même. Il avait fini par accepter peu à peu qu'il serait toujours autant détesté pour ces choix. Il avait fini par accepter d'être insulter de déchet par ceux qui étaient autrefois ses modèles. Il avait crée son propre rôle, celui de l'adolescent intouchable, fort, ayant confiance en lui malgré tout et qui se fichait de l'avis des autres. Le théâtre l'avait en quelque sorte sauvé et c'était depuis, la seule chose qu'il prenait véritablement au sérieux. Il se contentait de suivre les directives, d'apprendre les rôles et ne faisait rien d'autre. Pas de discussions, pas d'attachements, juste du travail bien fourni.

Et à présent, alors qu'il marchait silencieusement dans les couloirs pour rejoindre la salle de cours de théâtre, il ressentait de nouveau cette sensation de mal-être. Il ne se sentait pas du tout à sa place dans cet endroit. Aiden voulait faire demi tour et revenir dans l'ambiance violente et familière de l'aile D. Il voulait ne pas voir ces élèves qui avaient réussis, qui étaient acceptés, qui étaient encouragés tout le temps pour tout et n'importe quoi. Il ne voulait pas voir à quel point ils étaient soutenus dans leur travail. Cette idée même donnait la nausée à l'anglais. Il ne voulait pas comparé pendant des heures sa vie minable à celle des autres. Il savait qu'ils étaient très peu en D à suivre "sérieusement" les cours, il savait donc qu'il y avait peu de chances pour que quelqu'un comme lui soit présent. Aiden finit par arriver devant la salle de cours et entra après avoir toqué. Il ne trouva personne dans la pièce mais entendait des voix venant d'un autre endroit et s'y dirigea. Le brun était peut-être en retard, il n'en savait rien, il avait été tellement perdus dans ses pensées pendant qu'il marchait qu'il n'avait pas fait attention à l'heure.

Les élèves ainsi qu'un homme qui devait être sans aucun doute le professeur étaient debouts contre un mur. L'anglais se glissa silencieusement près d'eux en suivant les paroles des élèves qui se présentaient les uns après les autres, jouant en dernier le passage d'une pièce de leur choix. Aiden se décida à se lancer après le passage d'une fille se nommant Juliet, il se demandait si elle était également anglaise comme lui mais n'eut pas le temps d'y réfléchir plus puisqu'il se retrouvait déjà devant les autres. Leurs yeux étaient braqués sur lui, le jugeant sûrement intérieurement.
- Aiden Mikaelson, groupe D. J'aime le théâtre et certains sports de combat. Je déteste un trop grand nombre de choses pour qu'elles soient toutes citées en seulement quelques instants. Je vais vous interprêter un passage de la pièce de Jeanne Béziers nommée "Dracula, le Pacte".
Le beau brun ferma les yeux quelques instants, prit une inspiration quasi-silencieuse, puis les rouvrits. Ses traits se durcirent, son regard se noircit, sa posture quant à elle devint guindée, la puissance suintant de tout ses ports. L'anglais ne faisait plus qu'un avec le personnage de Vlad. Il était devenu la légende vampirique. Aiden commença à jouer et le monde autour de lui devint aussi noir et ténébreux que celui de Dracula. Plus rien ne comptait à présent mis-à-part montrer sa véritable valeur.

[Post à ne pas prendre en compte dans la suite du cours.]
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MessageSujet: Re: Cours d'Usami-Sensei : théâtre. Cours d'Usami-Sensei : théâtre. EmptyJeu 30 Avr - 9:52
Ce sont les vacances au Pensionnat ! Les cours sont donc terminé, et le sujet est archivé.

Bon jeu !
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MessageSujet: Re: Cours d'Usami-Sensei : théâtre. Cours d'Usami-Sensei : théâtre. Empty
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